Une timidité ?
Du tout !!!
Une discrétion
ou mieux
une distinction…
Voilà ce qui caractériserait le mieux la peinture de Sara Badr, qui, pour la première fois, rend publiques ses oeuvres artistiques.
L’exposition s’appelle le Circuit :
Le circuit de la vie
sans début ni fin, sans queue ni tête.
La spirale de l’infini…
Pour qui les mots sont la musique de l’image, il y a aussi un judas pour lire du coin de l’œil le travail de Sara Badr.
Ceci rejoignant cela, l’intimité que recrée le peintre avec ses diptyques est digne d’un arrêt de pensée sur cette face cachée – si bien cachée – de nos personnalités.
In and out
un hasard
puis un souhait
un mouvement
un arrêt
Une exposition rythmée avec des airs d’inachevé qui suscite le désir et attise l’impatience de suivre le travail de Sara Badr pendant de longues années.